Creully - 1812 - Etat civil

 Retrouverez-vous vos ancêtres dans ces trois listes de 1812 de l'état civil de Creully(naissances, mariages et décès)?

NAISSANCES
 
MARIAGES
DECES

Creully Mai 1874 - Accident de voiture à ;la Tourelle


Le sieur Jean Loisel, facteur des postes à Crépon, venant de remettre ses dépêches au bureau de Creully, était monté dans la voiture du sieur Vincent, couvreur à Crépon, pour regagner son domicile.
Celui-ci, légèrement échauffé par la boisson, fouetta son cheval, qui prit le galop; loin de tenir compte des observations de Loisel, il l'excia davantage; et, à la rencontre des routes de Courseulles et de celle d'Arromanches, lieu-dit "la Tourelle", la voiture, lancée à toute vitesse, toucha une borne et versa si malheureusement que Loisel eut dans cette chute la jambe droite fracturée au dessous du genou.
Cet infortuné est père de six enfants en bas âge et ses modiques appointements faisaient vivre sa famille. Vincent n'a eu que des contusions sans aucune gravité.


Anciennes carrières d’Orival (14) Visite le 23 juin


 
Sortie ouverte au grand public le dimanche 23 juin prochain au sein de la Réserve Naturelle Régionale des anciennes carrières d’Orival.
Rdv à 10h devant l’entrée de la réserve-Chemin blanc à Amblie (14). Gratuit.
Renseignements : 06 74 75 19 35.

 

Le concours du 100 000ème visiteur.

Réponse: couleur bleue
Sur la sculpture de Saint Martin de l'église de Creully,  l'animal n'est pas un étalon mais une jument ( Voir article du 27/05/2013).
Les 79 participants recevront un cadeau cette été.

Le Maréchal Montgomery à Creullet escorté par un motard au nom de Hamon

Monsieur Patrick Hamon m'a envoyé une photo du maréchal Montgomery au Château de Creullet.
Les membres de l'escorte de motards sont présents sur la photo dont le père de Patrick Hamon (flèche rouge).

Madame Mélite de Druval au premier rang.

Le père de Patrick Hamon.

Cette photo a été prise lors de la visite de Montgomery à Creully en 1950

Creully - Singulière épitaphe...

Il y avait une fois, deux voisins qui s'aimaient comme chien et chat.
Survint un chien enragé qui mor­dit celui du premier voisin.
Le Chien fut abattu et enterré dans un jardin situé à côté de celui du deuxième voisin.
Sur la tombe du toutou, son maître plaça une pancarte ainsi conçue: "Ci-git un chien qui avait autant de qualités qu'a de vices, l'animal d'à-côté".
Le voisin prit cela pour lui et alla quérir la maréchaussée.
- Q'signifie?demanda le chef...
- Signifie, répondit le proprié­taire de la bête, que j'avais un chat qui ne valait pas le diable... Il est mort l'an passé. Je l'ai enfoui à côté de l'endroit où est mon chien et, pour qu'on ne les confonde pas, j'ai mis sur la tombe de mon chien l'épitaphe qui a offusqué, je ne sais pourquoi, mon voisin.
- Hum ! singulière épistache, grogna le chef de la maréchaussée.
Et, sérieusement, il dressa un procès-verbal détaillé qu'il expé­dia à ses supérieurs.
Mais ils ont pris la chose du bon côté et ont pensé que, dans cette affaire de chien, il n'y avait pas de quoi fouetter un chat.

Notre contrée au IXe siècle

Le Calvados jusqu'au IXe siècle
Carte de M. J. Masselin

JEU du 100 000ème VISITEUR


Pour fêter le 100 000ème visiteur, je vous propose le jeu ci-dessous. Répondez par Email à mon adresse j-p.barette@wanadoo.fr en précisant en objet: JEU et en indiquant votre adresse postale.
Tous les gagnants recevront un cadeau.
Date limite: 25 Mai 2013

Le texte ci-dessous comporte une erreur. Où se trouve-t-elle? Dans le texte en rouge, en vert, en bleu, en violet ou en noir.

 Une œuvre de Cauvin réalisée en 1874 orne le fronton  (tympan) du portail d'entrée de l'église de Creully.
Elle représente Saint Martin chevauchant un étalon.
Selon la légende, un soir d’hiver  "il partage son manteau avec un déshérité transi de froid."

A Paris en 1883, la fille de l'huissier de Creully acquittée


Dans le «Bonhomme Normand» du 5 janvier 1883 (journal de Caen).

Il y a une quinzaine d'années, le café de la Bourse, à Caen,  était tenu par un sieur Larcher, qui avait épousé la fille d'un huissier de Creully.
Larcher ne réussit pas à Caen; il partit à Paris, où il est mort.
Sa femme, devenue veuve, entra comme caissière dans un restaurant du boulevard Saint-Germain.



Son amant, un Espagnol, ayant commis dans cet établissement un vol de 40.000 fr, elle fut accusée de complicité.
La femme Larcher et son amant, ont comparu la semaine dernière devant les assises de Paris.
L'Espagnol a été condamné à 5 ans de prison; la dame Larcher a été acquittée.

Creully - Voyage paroissial

Carte photo d’avant 1932. C’est un voyage paroissial en automobile décapotable 8 portes. A l’avant debout, madame Marcelle Jamin avant son mariage, assise derrière elle et habillée de clair, sa mère Alice Jamin.
Merci Anita pour la photo.

1813 - Devant le juge de paix de Creully - Tour de cochon

Juin 1813
Un qui s'y connaît à jouer des tours de cochon, c'est L. au surnom de "La Vapeur".
Son ami Martin, ne pouvant se déplacer, à cause de ses douleurs, l'avait chargé de lui vendre son co­chon, au marché de Caen.
— Cha va ! dit La Vapeur... Et pis tu sais, y n'léront pas pas por des pistaches, ch'est mé qui te l'dis.
Le soir venu, La Vapeur vint ren­dre compte de son opération à Martin; mais celui-ci fit la grimace, car il trouva un brin maigre la somme que son ami lui verra.
Il ne dit mot à La Vapeur, mais il se renseigna de droite et de gau­che et finit par se persuader que La Vapeur avait prie sa commission, et dans les grandes marges.
Celui-ci l'apprit et envoya  une lettre de conciliation à Martin devant le juge de paix de Creully.
Mais La Vapeur lui joua encore un tour de cochon en n'y venant pas.

Creully - Le four à pain des anciennes halles

Les anciennes halles, construites par un baron de Creully, Antoine III de Sillans (1578 - 1641) vers le début du XVIIe siècle.
Elles sont toujours présentes (hôtel Saint Martin)
Le four à pain dans le sous-sol des anciennes halles

US Creully - L'équipe de football.

Malheureusement je n'ai pas l'année. Si un internaute l'a, qu'il me passe l'info.
Merci Myriam

Creully - Normandie - Aurore boréale....

Février 1872
Creully a eu dimanche soir le spec­tacle d'une aurore boréale, ou, pour dire plus exactement, d'une aurore polaire.
A six heures, après avoir passé par leurs phases ordinaires de mobilité et d'éclat di­vers, deux colonnes éblouissantes, sillonnées de traits de feu jaune et pourpre, se sont réunies au zénith, pour y former une cou­ronne, dont l'aspect a semblé donner raison à ceux qui soutiennent cette opinion, que ce météore est dû à la matière magnétique qui s'enflamme comme de la limaille de fer.
On eût dit qu'un obus gigantesque venait d'éclater à des espaces incommensurables, et alIait couvrir la terre de ses débris.
Puis les plis du météore, obéissant au mouvement de rotation de l'atmosphère qui les entraînait, prirent des nuances plus sombres, et finirent par disparaître, pour ne plus lais­ser dans le nord qu'un immense rideau de pourpre, qui, à minuit et demi, avait entière­ment disparu.
Comme de juste, ce phénomène météoro­logique a donné lieu aux commentaires les plus étranges, car une croyance populaire veut que le retour de ce phénomène soit l'annonce d'un événement important.
-          C'est signe de mort, disaient les uns.
-          C'est signe de sang; c'est signe de re­vanche, disaient les autres.
A l'avenir de se prononcer.

1970 - D'Estoc et de taille - Spectacle son et lumière au château de Creully

Les habitants de Creully étaient les acteurs.



Souvenirs de Myriam



"Belle Fontaine" La fontaine des filles à marier

Entre les avenues de Cully, Coulombs, Creully et le Bois, se trouve un vaste terrain vague, très accidenté qui rappelle les landes de Bretagne.
(Nous nous trouvons à la limite des terres de Lantheuil, coulombs et Creully; dans le bois dit du "Galletay")Au milieu de ce terrain, au fond d'un vallon, se trouve une source très claire qui alimente une fontaine pavée et voûtée, longue de sept mètres, large de trois, et peu profonde, connue sous le nom de «Belle-Fontaine».
On attribue à ses eaux la vertu singulière de faire marier dans l'année les filles qui vont à certains jours et heures s'y laver et s'y désaltérer. Ce pèlerinage clandestin est plus fréquenté qu'on ne le pense. Je n'étonnerai personne en di­sant que, malgré de nombreuses décep­tions, la foi ne faiblit pas. Si, malgré son pèlerinage, une fille se voit contrainte à coiffer Sainte-Catherine, e’est qu'elle a mal observé les rites.
Je me suis demandé quelle peut être l'origine de cette superstition, personne dans le pays n'a pu me renseigner. Voici une hypothèse. Au Moyen-Âge, les habitants de Vaux-sur-Seulles passaient par là le dimanche de la Trinité pour aller porter les deux tiers de leur dîme à l'ab­baye de Sainte-Trinité de Caen et rece­voir, en outre, un dîner copieux.
(les jeunes filles passaient par Le Bourgay, ancien hameau de Creully)
Or, l’endroit est très propice pour une halte, soit pour former, soit pour reformer le cortège. Rien de surprenant dans ce fait que les femmes et les filles profitaient de ce moment de repos pour réparer le dé­sordre de leur toilette et aient fait don­ner à cette source le nom de «Fontaine des Belles», d’où est venu «Belle Fontaine», nom qu'elle mérite à cause de la limpi­dité de son eau.
On y a trouvé une fois une jeune fille noyée, je suppose que c'est pour éviter d'autres malheurs qu'on a fait voûter la fontaine des trois côtés. Quant à la jeune fille, s’est-elle noyée par accident en voulant accomplir trop consciencieusement les rites, ou bien s'est-elle suicidée voyant l’inutilité de ses efforts ? C’est un secret resté au font de l'eau.
Texte de V.Leboucher retrouvé à la bibliothèque de l'université de caen.

Juin 1905 - Collision contre un facteur de Creully


 Le sieur Delahaye venait, un matin, à bicy­clette, prendre son service au bureau de poste de Creully, où il est facteur intérimaire.
En descendant une rue du bourg, il renversa une dame Planchon et lui-même fut projeté violem­ment sur le sol où il resta étendu sans connaissance. Son état est grave.
De son côté, la dame Planchon, qui a eu de fortes éraflures aux mains, se plaint de douleurs internes.

Creully 1954 Ma cousine des halles

MA COUSINE DES HALLES.
Les halles de Creully transformées en salle des fêtes
Un dimanche d’octobre 1954, en matinée et en soirée, «Les Comédiens Vagabonds» de Creully nous ont présenté «Ma Cousine des Halles», une comédie en 3 actes d’André Bisson et Edge Trémois.
La troupe de la coopérative scolaire et postscolaire s'est surpassée.
Le rôle principal, la Baronne du Pignon de Belle Espine, était tenu par Elisabeth Collet qui sut camper un personnage hau­tain à souhait. Son mari, Godefroy du Pignon était personnifié par Paul Rambert, baron honnête, au caractère tour­menté entre une baronne irré­ductible et un fils, Jean, qui, de façon désinvolte, s'abandonne au charme de la vie moderne. Ce rôle de Jean du Pignon était tenu par le jeune Maurice Jamin qui affrontait pour ainsi dire les feux de la rampe pour la première fois ; il se tira de sa lourde tâche avec une aisan­ce étonnante pour un débutant.
Dieudonné, le domestique des du Pignon, rôle tenu par Jean-Claude Carabeufs, fut di­gne dans ses fonctions de servi­teur. Pierre Pinchon, Théodore hilarant au possible fut, sans conteste, avec la Baronne, un des meilleurs de l'équipe. Hortense Lamotte, rôle très bien tenu par Suzanne Lechasles. Quant à Antoinette Lamotte, ce rôle délicat fut bien tenu par Madeleine Collet qui sut nuancer ses expressions. Enfin le huitième rôle était tenu par un vrai débutant qui, lui, n'avait jamais paru sur une scène: Jean Rideau. Il se tira avec délica­tesse de son personnage in­grat.
Ainsi donc, cette, séance fut un magnifique succès théâtral pour cette joyeuse équipe de jeunes. Ils peuvent être satis­faits d'avoir parfaitement réus­si dans la tâche qu'ils s'étaient donnée. Il est simplement dom­mage qu'à l’une et l'autre séan­ce le public ne répondit pas as­sez nombreux aux invitations reçues. Nos jeunes ne se tien­nent pas pour battus pour au­tant ; ils savent que la saison était déjà trop avancée, et ils s'apprêtent à reproduire ce spectacle à la rentrée d'octobre Nous ne pouvons que les féliciter.

L'équarrisseur de Creully mort contre un tramway


Le Journal de Bayeux - Septembre 1899

Voici quelques renseignements sur l'accident qui nous était signalé mardi, au moment de mettre sous presse.
M. Henri Tranquille Madeleine, équarrisseur à Creully, se trouvait, en carriole, à Sommervieu, quand son cheval, fort ombra­geux, eut peur du tramway qui arrivait et se jeta brusquement en travers de la voie.
Le mécanicien fit les plus grands efforts pour arrêter son train, mais en vain! La machine tamponna cheval et véhicule; par suite de la violence du choc, M. Madeleine fut projeté à plusieurs mètres de là. On le releva évanoui, le crâne fendu ; transporté à l'hos­pice de Bayeux, le malheureux y est mort hier matin, sans avoir repris connaissance.
Madeleine était âgé de 53 ans.

L'église Saint Martin de Creully

L'église de Creully s'élève tout près du célèbre château féodal dont la for­teresse imposante et les puissants remparts dominent la vallée de la Seulles.
A part l'extrémité du chœur qui fut allongé à l'époque gothique, les chapelles percées dans ce chœur côté nord, et le clocher relativement récent, l'église de Creully dans son ensemble est un beau joyau d'art roman du XIIe.
Elle a subi une restauration au XIXe, mais cette dernière restée discrète n'a pas dénaturé l'ensemble du style, si bien que l'église demeure un spécimen du roman de notre région, lorsque cet art arrivait à sa dernière période, alors que l'architecture gothique se développait déjà dans d'autres régions de France.
L'élévation extérieure très soignée présente de chaque côté, à la partie supérieure des murs des arcatures romanes aveugles pour la plupart. Une seulement, sur trois ou quatre, est percée d'une baie étroite éclairant la nef. Ces fines arcatures en plein cintre sont l'imitation d'un certain nombre d'autres que l'on trouve dans les églises, du Bessin et de la Plaine antérieures à Creully, par exemple à Secqueville.
Les modillons de la corniche représentent comme si souvent chez nous des têtes, masques grotesques et grimaçants. Beaucoup — et on les repère facilement — ont été refaits totalement lors de la restauration du XIXe siècle, comme d'ailleurs certains des petits chapiteaux de l'arcature. Sur les deux faces on accède à la nef par des portes romanes dont les arcs sont ornés de zigzags en bâtons brisés si fréquents dans l'art roman du Calvados. Ce qui est par contre beaucoup moins fréquent «assez rare dans les monuments d'architec­ture romane» signale M. de Caumont, c'est que deux de ces portes (dont l'une côté nord est d'ailleurs bouchée) sont couronnées d'arcs nettement surbaissés au lieu d'être franchement en plein-cintre.
A l'intérieur le visiteur ne peut être que conquis devant la pureté de cette nef romane et des collatéraux admirablement conservés. De chaque côté, cinq grandes arcades toutes ornées de bâtons brisés, dont les archivoltes sont nettement en retrait, rappellent celles de la nef de la cathédrale de Bayeux. Mais alors que dans cette dernière des piliers gothiques sont venus entourer les piliers romans primitifs, ceux de Creully n'ont rien eu d'ajouté et leurs chapiteaux sont authentiquement romans.
Ah ! Ces chapiteaux de Creully ! Nous ne pouvons les passer tous en une revue détaillée. Ils sont fort nombreux, certains humblement cachés dans la pénombre des bas-côtés, mais le visiteur ne manquera pas de les découvrir un à un et de s'attarder devant eux.
Ils s'inspirent de chapiteaux plus anciens d'autres églises romanes Normandes. Plusieurs des églises de ce canton de Creully en ont aussi de très beaux. Ils sont assez archaïques dans le choix des motifs, palmettes, godrons plutôt rigides, de relief assez plat aussi.
Quelques-uns présentent des masques humains, auxquels des feuillages tiennent lieu de barbe et de moustache. Pour un autre au contraire, les feuillages en volutes paraissent vomis de la bouche ou serrés entre les dents. D'autres, plus nombreux, s'ornent d'entrelacs perlés, très fins, aux innombrables nœuds compliqués, longuement entremêlés en d'inextricables labyrinthes.
Les voûtes de la nef sont celles de la fin de l'époque romane. Elles, sont sur croisées d'ogives, alors que les doubleaux sont encore en plein-cintre. Les bas-côtés sont voûtés d'arêtes saillantes.
Pour qui peut monter jusqu'aux combles un problème pourrait pourtant se poser au sujet de ces voûtes. La charpente se découvre alors si belle, ouvragée et sculptée — si antique aussi qu'on se demande pourquoi on l'a ainsi travaillée pour la masquer dans un grenier.
Il ne paraît pourtant pas que cette charpente intéressante n’ait jamais été apparente comme elle l'était en général en Normandie, dans les édifices romans antérieurs non voûtés.
L'épaisseur des murs de l’église montre que le constructeur dès l'origine pensait à placer une voûte de pierre. On aura voulu probablement, malgré tout, utiliser une charpente ouvragée comme il était de règle, au siècle précédent, en Normandie.
Le chœur primitivement roman, a été nous l'avons dit retouché et allongé, proba­blement à la fin du XVe ou au début du XVI e. C'est à cette époque qu'on a ajouté aussi un bas-côté nord dit «chapelle des hommes».
La tour-clocher, carrée à la base, puis octogonale dans sa partie supérieure, est d'une époque beaucoup plus récente comme aussi une chapelle seigneuriale côte nord, à la hauteur du sanctuaire (probablement le début du siècle XIXe)
Pour bâtir cette dernière chapelle on a fait disparaître le tombeau du XVIIIe d'Antoine II de Sillans, seigneur de Creully, mais du côté sud du sanctuaire subsiste toujours celui d'Antoine III. Le visiteur pourra encore en déchiffrer l'épitaphe assez pompeuse.
Vous qui passez par Creully — peut-être en vous rendant aux plages du débar­quement — vous qui visitez le château féodal un des mieux conservés du Calvados, ne manquez pas d'admirer aussi ce joyau d'art roman si sympathique qu'est l'église Saint-Martin.

1873 - Creully - Delles des champs...

Comme nous le voyons dans cette annonce de vente de pièces de terre labourables à Creully, datée de septembre 1873, celles-ci portent un nom de delles.
J'ai entrepris, aux archives départementales du Calvados, un recensement de toutes ces delles, je pense trés bientôt vous présenter mes travaux avec un plan de situation.